De retour au Golden Star, Franciano Etinof jouera la dernière saison de sa carrière, cette année. En tant que joueur, il souhaite aussi remettre aux jeunes ce qu’il a appris.
Interview de Franciano Etinof, de retour au Golden Star, cette saison :
Pourquoi as-tu quitté le Club Franciscain pour le Golden Star ?
“Sincèrement, j’avais promis au président du Golden Star, monsieur Serge Louise, de lui donner un coup de main et de faire une année avec le Golden Star avant que je n’arrête. Je le dis déjà, c’est ma dernière année. L’année prochaine, si Dieu veut, j’arrête le foot. J’ai voulu faire honneur et lui donner une petite année encore.”
Quel sera l’état d’esprit du Golden Star cette saison ?
“On va essayer de se maintenir en R1. Ce ne sera pas facile. On est dans un groupe assez costaud quand même. Je souhaite aussi faire progresser certains jeunes que je connais depuis 2019. Ils sont très bons mais il leur manque un peu d’expérience et de travail. Je veux remettre ce que j’ai appris. Ce ne sera peut-être pas facile mais j’ai confiance en moi, je suis un combattant.”
Il y a un bel effectif aussi cette saison…
“Oui, nous avons de bons joueurs. C’est vrai que dans chaque club, il y a des joueurs et des moyens plus hauts que d’autres. Comme je dis, si je peux arriver en haut, ceux qui sont en bas peuvent y arriver aussi. C’est à l’entraînement de montrer ce qu’on sait faire, de faire ce qu’on sait faire et surtout d’écouter l’entraîneur, se motiver et se respecter. Si on joue le samedi, ne pas sortir le vendredi… C’est un exemple. Ça fait partie du foot. Ça fait partie de l’objectif de ce début de saison. Donc, c’est essayer de se maintenir, de jouer au foot et d’apprendre.”
Dans la Poule A, quelles équipes craignez-vous le plus ?
“Toutes les équipes (rires). Vous savez, c’est facile de parler lorsque nous sommes au chaud, sous la tribune. Mais comme on dit, la vérité est sur le terrain. Aujourd’hui, on peut bien jouer, faire un super match et demain être lamentable. Donc moi, c’est vivre au jour le jour et c’est sur le terrain qu’on voit.”
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